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Valeurs Numériques dans la Bible

30 décembre 2014

BIBLE ET SCIENCE

 

1.

Découvertes du Professeur Ivan PANIN

sur les valeurs numériques cachées dans la Bible

 

Les adeptes de la Kabbale sont familiers de l'activité qui consiste à interpréter la Bible en associant un code, un symbole, un chiffre à chaque lettre de l'alphabet hébreu, pour en interpréter la signification.
Le mathématicien russe Ivan PANIN, au début du XXe siècle,  est connu pour ses recherches sur la « structure numérique » de la Torah.
Le rabbin Michael Ben Weissmandel mène également, à peu près à la même époque, des recherches sur la Tanakh, et plus spécialement la Torah.

Ivan PANIN a passé sa vie à étudier à la main, l'ordinateur n'existant pas encore,  ces signes remarquables attachés à la construction des Ecritures. Il a accumulé plus de 40 000 pages de calculs.
La présence du Créateur demeure derrière chaque mot, chaque lettre même des Ecritures. Les 40 rédacteurs différents n'ayant fait que transcrire, sur plus de 2000 ans d'intervalle, comme des scribes,  ce qui leur était inspiré et révélé.

                        Le Professeur Ivan PANIN a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres hébreux et grecs est numérotée et occupe sa propre place spécifique dans l'ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Etant donné que chaque lettre Hébraïque et Grecque comporte une valeur numérique, "les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues" chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.

Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et Grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.
 

Le Dr. Ivan PANIN a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l'intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et Grecs.

Le Pr Ivan PANIN a démontré, soit que chaque auteur des Ecritures était un génie littéraire et mathématique sans égal,  ou bien qu'il écrivait sous la conduite et l'inspiration de l'Esprit Saint.  Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Pr Ivan PANIN, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.

 

 L’utilisation symbolique des nombres a été très développée dans les textes bibliques. Deux raisons à cela : d’une part, tout ce qui existe, dans le ciel et sur la terre, lois physiques ou lois religieuses, nombres ou figures…. proviennent d’un unique créateur. Les nombres sont le miroir de cette origine.

 

0017

 

 

http://www.bibleetnombres.free.fr/panin.htm



La Bible est écrite en deux langues; l'Ancien Testament en Hébreu, [les quelques chapitres en chaldéen sont, en regard de l'usage numérique, semblables à l'Hébreu], le Nouveau Testament en Grec. Ces deux langues ont chacune cette particularité: Elles n'ont pas de symboles distinctifs pour les chiffres correspondant à nos chiffres modernes arabes 1,2,3,4,S,6,7,8,9,0, et pour les remplacer, elles se servent de lettres de leur alphabet, et ainsi chaque lettre hébraïque ou grecque correspond à un certain chiffre ou à un certain nombre. C'est ce qu'on appelle la valeur numérique de la lettre.


La valeur numérique d'une phrase, paragraphe, chapitre, livre ou volume ou bibliothèque, est la somme des valeurs numériques des mots dont ils sont formés.



La caligraphie des lettres 11, 13, 14, 17, et 18 change lorsqu'elles se situent en fin d'un mot. Mais la valeur positionnelle atribuée demeure la même.

 

La valeur numérique de l'ensemble des textes est divisible par 7.


La valeur numérique des diverses formes dans lesquels les mots apparaissent, produisent le même phénomène, à savoir être divisible par 7.

L'énumération ci-dessus effleure à peine l'étendue des phénomènes numériques que Yvan Panin a mis en lumière à l'intérieur de la structure de cette portion particulière. I1 a défié tout homme de pouvoir écrire un paragraphe de 300 mots intelligiblement et de produire quelques phénomènes numériques du même genre et de le mener à terme en six mois. Tout homme qui pourrait le faire réaliserait un prodige.


Aucun homme ne s'est offert. Mais plusieurs écrivains des Ecritures étaient des hommes choisis d'un milieu de vie ou d'un secteur d'activités très ordinaire ayant peu ou pas d'éducation. Si par exemple Matthieu, Marc, Luc ou Jean avaient essayer d'écrire seulement avec l'esprit des hommes sans l'aide de Dieu et qu'ils auraient produit ces caractéristiques numériques harmonieuses que l'ont retrouve tout au long de leurs livres, combien de temps cela leur aurait-il pris?. Souvenons-nous qu'avec chaque phrase additionnelle la difficulté de construire selon ces contraintes, augmente avec une progression géométrique et arithmétique; car ils doivent trouver le moyen d'écrire chaque paragraphe et ainsi développer et établir constamment les relations numériques fixes avec le texte qui précédait et le texte à venir.


Mais une caractéristique encore plus renversante demeure: Le nombre de mots trouvés dans Matthieu et que l'on ne peut retrouver dans aucun des autres livres du Nouveau Testament, démontre un plan numérique élaboré. Comment Matthieu savait-il qu'il avait utilisé des mots qui ne seraient pas employés dans aucun des 26 autres livres. Il aurait fallu qu'il ait devant lui tous ces livres et qu'il écrive le sien en dernier. Toutefois, il se trouve aussi que chacun des autres livres montre le même phénomène. Serait-ce donc que chaque écrivain aurait été le dernier à écrire son ouvrage?. Si non alors, peut-on dire que chacun d'eux était capable de lire dans les pensées, en plus d'être un artiste littéraire et mathématique jamais égalé et presque inconcevable.

Yvan Panin a réussi à prouver à l'aide de ses calculs que chaque livre de notre Bible comporte de telles caractéristiques et que chacune était nécessaire pour obtenir le schéma numérique de la Bible en entier et ce, afin qu'elle se développe correctement et que rien ne puisse y être rajouté ou retranché et nous parvienne telle que nous la possédons actuellement, sans détruire cet arrangement planifié.

 
Depuis les cinq premiers versets de la Genèse jusqu'au dernier de l'Apocalypse nous retrouvons ces évidences d'origine divine. Donc il est certain que ce Dieu de la nature est aussi le Dieu des Écritures. Donc les querelles et discussions que nourrissent les sceptiques ne se font pas avec les croyants de la Bible mais avec Dieu lui-même.

Cette présence particulière du chiffre 7 dans les Ecritures a été récemment mise en lumière par la révélation des codes numériques Bibliques.

 

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2.

Commentaires sur l'oeuvre du Professeur Yvan PANIN

(12 Décembre 1855 - 30 Octobre 1942)

et autres par le Dr. Keith L. BROOKS

(Traduits de l'anglais)

 

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Les Valeurs Numériques de la Bible  -  Découvertes du Professeur  Yvan  P A N I N

 

      La Bible est écrite en deux langues.

      L' Ancien Testament en Hébreu, [les quelques chapitres en chaldéen sont, en regard de l'usage numérique, semblables à l'Hébreu].

      Le Nouveau Testament en Grec.

 

  Ces deux langues ont chacune cette particularité : elles n'ont pas de symboles distinctifs pour les chiffres correspondant à nos chiffres modernes arabes

1,2,3,4,S,6,7,8,9,0,  et pour les remplacer, elles se servent de lettres de leur alphabet, et ainsi chaque lettre hébraïque ou grecque correspond à un certain chiffre ou à un certain nombre. C'est ce qu'on appelle la valeur numérique de la lettre.

 

 

De la même manière qu'un mot est composé de lettres, la valeur numérique d'un mot est la somme des valeurs numériques de ses lettres.

La valeur numérique d'une phrase, paragraphe, chapitre, livre ou volume ou bibliothèque, est la somme des valeurs numériques des mots dont ils sont formés.

 

 

Au moyen de ces valeurs numériques, les Grecs et les Hébreux ont effectué toutes leurs opérations numériques. Mais dans les Écritures un système additionnel est utilisé pour la construction des textes : c'est la Place des valeurs numériques ou valeur positionnelle. La place des valeurs numériques ou la valeur positionnelle d'une lettre dans les Écritures, que ce soit l'hébreu ou le grec, est le nombre représentant le rang qu'occupe cette lettre dans l'alphabet.

 

 

En conséquence dans l'hébreu, les valeurs positionnelles et les valeurs numériques des dix premières lettres sont les mêmes.                                               

 

Il en est de même pour les cinq premières lettres dans le grec. Mais la onzième lettre en Hébreu ne correspond pas à onze mais à vingt. Par conséquent sa valeur numérique est 20 mais sa valeur positionnelle est 11, la dernière lettre de l'alphabet Hébreu, la vingt-deuxième correspond à 400. Donc sa valeur numérique est 400 mais sa valeur positionnelle est 22.

 

Ceci s'applique aussi pour l'alphabet grec. Sa sixième lettre correspond à 7 ; ce qui est sa valeur numérique, mais sa valeur positionnelle est 6. La valeur totale d'une lettre grecque ou Hébraïque ou mot, est la somme de sa valeur numérique et de sa valeur positionnelle ; ainsi la valeur totale du mot "Jésus" en grec est 975 dont la valeur numérique est 888 et sa valeur positionnelle est 87.

 

 

Au sujet des travaux du Dr Yvan Panin, le Prof. A. Gordon Melvin, de New York, très en vue dans le domaine de l'éducation laïque, a effectué un pèlerinage à

Aldershot, Canada, pour rencontrer le Dr Yvan Panin, et il nous a remis le rapport suivant: "Après avoir conversé avec le Dr Panin et scruté son travail, je crois qu'il est temps pour ceux qui connaissent cette œuvre de déployer un effort concerté pour la rendre disponible à ceux qui ignorent son existence. J'ai

constaté que le Dr Panin possède des données sous forme de concordances numériques représentant des années de travail. Je suis inquiet en constatant

leur état périssable.

 

 

Le Dr. W. Bell Dawson, savant canadien bien connu, nous a écrit : Je suis d'accord avec ce que vous dites au sujet des travaux du Dr Panin, dont je suis conscient depuis un certain nombre d'années. Je suis particulièrement intéressé par l'influence qu'ils peuvent avoir sur le choix des "lectures diverses" par la population. J'espère que son œuvre magistrale sera continuée.

 

Le Dr Arthur I. Brown, éminent médecin Canadien et conférencier biblique bien connu, a aussi visité le Dr Yvan Panin et nous a écrit pour nous inciter fortement à répandre son œuvre par tous les moyens possibles.

 

 

Le Dr D. M. Panton, éditeur de The Dawn et professeur de Bible bien connu de London, dit : "La découverte du Dr Panin, une des plus renversantes qui puissent être faites ; est un des cataclysmes de Dieu pour la crise finale c'est l'arrêt de mort de la critique destructive, non pas, malheureusement, que les critiques vont être convaincus, car les fondements de leurs doutes reposent beaucoup plus profondément que dans l'intelligence ; et quand leurs croyances fermes sont réfutées, ils déplacent le problème ; néanmoins, pour tous ceux qui font honnêtement appel à l'intelligence, cette découverte fournit une manifestation intelligente de la miséricorde de Dieu, qui rencontrera chaque âme sur son propre terrain.

 

 

Celui qui analyse l'Écriture de façon destructive se retrouve dans la situation d'un analyste infantile aux prises avec des complexités qu'il n'avait jamais imaginées. L'inspiration verbale de la Bible est ici démontrée mathématiquement, laissant loin en arrière toute machination essayant de la détruire.

 

L'Écriture se révèle comme un parchemin qui, exposé à la lumière, fait ressortir l'autographe de son Artisan ; un texte qui comporte précisément cette marque d'une arithmétique miraculeuse qui se retrouve dans la chute mathématique parfaite des flocons de neige, et dans les enroulements parfaits d'une coquille.

 

Aux critiques du Dr Panin je dirais : " Mettez-vous ses chiffres en question ? Si oui, où s'est-il trompé ? Sinon, leur portée est incontestable. Vous ne pouvez argumenter contre les mathématiques ".

 


" Pour chaque beauté, il y a quelque part un œil pour la voir.

Pour chaque vérité, il y a quelque part une oreille pour l'entendre.

Pour tout amour il y a un cœur quelque part pour le recevoir. "

Yvan Panin

 

Démonstration scientifique de l'inspiration de la Bible

Ce chapitre vient compléter le chapitre dédié au phénomène des codes numériques dans lequel Yvan Panin est cité en référence. La taille et l'importance de ce document m'ont obligé à en faire une page particulière, dédiée au savant qui avait, bien avant l'ordinateur, décelé la présence de schémas numériques

structurés et obéissant à une inspiration suprahumaine, c'est à dire divine.

 

En dehors des bibliothèques, il est pratiquement impossible de se procurer les ouvrages du Dr Yvan Panin en langue Française à l'heure actuelle, à ma connaissance. (En Russe, il existe un ouvrage. Il existe une version commentée en Anglais disponible au format pdf.

 

 " Ouvre mes yeux pour que je contemple les merveilles de ta loi "    (Psaumes 119/18)

 

" La parole de Dieu est remplie de merveilles ",  nous dit le psalmiste. Mais pour les voir, pour être saisi par leur beauté, il faut que Dieu ouvre les yeux du lecteur. Le vieux livre contient aussi des merveilles d'une autre sorte, des merveilles purement mathématiques. Il existe dans toute la Bible une structure mathématique sous-jacente au texte et au vocabulaire qui scientifiquement, démontre qu'elle n'est pas une ˜œuvre de hasard. Ce document est tout à fait exceptionnel. Il relate la découverte extraordinaire du grand mathématicien Yvan Nikolayevitsh Panin. Il démontre mathématiquement, donc de manière inattaquable, la totale inspiration du texte biblique jusque dans ses moindres détails.

 

 

Un des événements les plus remarquables de notre époque, c'est que Dieu a suscité un individu pour apporter des évidences positives qui anéantiraient complètement toutes les critiques bibliques et qui abattraient l'athéisme partout où donc des hommes sincères et intelligents devraient s'en tenir aux faits.

 

Encore plus étonnant est le fait que cet homme soit un Nihiliste russe converti, un érudit né le 12 décembre 1856. Il fut contraint de se réfugier en Allemagne puis aux Etats-Unis. Il étudia à Harvard, devint savant et mathématicien et se convertit à Jésus-Christ.

 

 

Il réussit brillamment ses études et devient un écrivain et un conférencier très recherché. Au moment même où l'athéisme organisé préparait ses plans pour prendre le contrôle de la Russie et utiliser ses vastes ressources pour semer les graines de l'athéisme dans chaque nation de la terre, (se reporter au chapitre : "le trône de Satan" à ce sujet), Dieu Lui, préparait Son Russe Yvan Panin pour avancer les preuves et les évidences scientifiques de l'inspiration verbale et plénière des Saintes Écritures dans leurs textes originaux de rédaction.

 

 

Le Dr Yvan Panin qui est décédé en octobre 1942 après 50 ans de recherches sur les caractéristiques numériques de la Bible, n'était pas le premier à découvrir qu'il se trouvait une étrange structure mathématique tout au long du Livre. Il y eut Browne dans son "Ordo Saeculoreum" et Grant dans sa "Numerical Bible" et Bullinger dans son "Numbers of the Scriptures". Ils ont tous avancé et fait ressortir plusieurs exemples frappants des caractéristiques numériques dans la Bible. D'autres érudits poursuivent la recherche dans ce domaine.

 

Néanmoins il reste que le Dr. Yvan Panin a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres Hébreux et Grecs est numérotée, et occupe sa propre place spécifique dans l'ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Étant donné que chaque lettre Hébraïque et Grecque comporte une valeur numérique, "les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues" chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.

 

Le Dr. Yvan Panin s'est dévoué avec tant de persévérance à décompter les lettres et à déchiffrer les problèmes arithmétiques qui se posaient qu'il s'est souvent épuisé physiquement. Il lui arrivait en effet de travailler jusqu'à 18h/jour ! Ses ouvrages étaient volumineux et ses découvertes apparemment sans fin. Il était l'auteur d'un volume "Structure of the Bible" et d'une révision du Nouveau Testament basé sur ses découvertes numériques.

 

Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et Grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.

 

 

La démonstration de Yvan Panin des séries de système complexes, pratiquement infinies dans les textes hébreux et grecs, toutes séquences, combinaisons, proportions, relations etc...  suivant un plan uniforme à partir de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse, est sans aucun doute la réponse de Dieu à l'athéisme moderne et aux grandes critiques et sa justification de l'inspiration verbale et plénière des Écritures.

 

Cette découverte résout plusieurs questions et litiges quant aux textes. Elle prouve que les livres composant notre Bible actuelle et seulement eux, possèdent les qualifications requises. Elle a résolu des disputes de longue date concernant certaines parties de la Bible que certains savants voudraient éliminer.

 

 

 La doctrine de l'autorité divine des Écritures, a toujours été pleinement soutenue par les preuves de l'accomplissement des prophéties, des profondeurs inépuisables de la vérité révélée, de son incomparable emprise sur la vie des hommes, de son indestructibilité et du témoignage de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Cependant d'aucuns se complaisent à rejeter ces preuves les considérant comme non-scientifiques.

 

Le Dr. Yvan Panin a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l'intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et Grecs.

Le Dr. Yvan Panin a démontré, soit que chaque auteur des Écritures était un génie littéraire et mathématique sans égal ou bien qu'il écrivait sous la conduite et l'inspiration du Saint-Esprit. Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Dr. Yvan Panin, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.

 

 

Yvan Panin a exposé ses découvertes aux lecteurs dans un journal de NEW-YORK dont des copies ont été envoyées à des éducateurs sceptiques et des scientifiques de renom en leur lançant un défi : qu'ils réfutent si cela leur était possible la validité du phénomène auquel il portât tant d'attention. Depuis ce temps, de nombreux autres érudits sceptiques ont été confrontés à cette même évidence, et pas même un seul ne fut capable de la mettre en doute.

 

 

Quelques-uns l'ont défié de retrouver la même structure mathématique dans des classiques Hébraïques et Grecs en dehors de la Bible.

 

En conséquence, Yvan Panin a accordé beaucoup de temps à l'examen de telles ˜œuvres sans parvenir à y déceler des phénomènes similaires. De telles caractéristiques n'apparaissent pas dans les sept livres (Apocryphes) rajoutés par l'Église à son Ancien Testament.

 

 

LE CHIFFRE DIVIN

 

C'est un fait bien connu que le chiffre 7 se retrouve d'un bout à l'autre de l'univers. C'est sans aucun doute le chiffre du Créateur et le chiffre de la perfection, du fondement et de la plénitude.

 

Cette loi du 7 se retrouve non seulement abondamment à travers la création, mais elle se retrouve à profusion au premier coup d'œil sur l'étendue de la Bible et elle apparaît toujours de façon significative. De plus, des étudiants attentifs ont souvent été estomaqués de retrouver ce chiffre dans les situations les plus inattendues. Malgré cela, les sceptiques peuvent attribuer ce fait aux efforts de l'écrivain, qui considérant le chiffre 7 comme un chiffre mystique, s'ingénie à écrire des phrases comportant 7 mots exactement ou à développer brillamment des sujets subdivisés en 7 points.

 

L'ouvrage de Yvan Panin toutefois ne porte pas sur des traductions mais sur l'Hébreu et le Grec et ce serait une folie de vouloir essayer de prouver l'inspiration du texte dans sa version King James ou de toutes autres versions. Les difficultés rencontrées par les traducteurs ont été énormes, et c'est un fait bien connu que les changements constants apportés au langage usuel ont rendu désuets plusieurs mots dans notre traduction anglaise ou française, d'où les nombreux essais de traduction en langue moderne ou réactualisée.

 

Mais comment Yvan Panin a-t-il pu retourner aux originaux puisque nous ne savons même pas si nous avons, nous même, des originaux. La réponse, c'est que la comparaison de centaines de manuscrits préservés jusqu'à nos jours nous démontre une uniformité qui prouve une source commune.                            

 

Le texte qu'utilise Yvan Panin pour ces dénombrements est la révision des textes Hébreux pour l'Ancien Testament, le texte de Wescott et le texte de Hart pour le Nouveau Testament. Il est à noter que les décomptes de Wescott et Hart sur le Nouveau Testament se soutiennent presque invariablement.

 

Ci-dessous, le lecteur trouvera un exemple extrait parmi d'autres sur les travaux du Pr. Yvan Panin pour aborder le genre de phénomènes retrouvés par le savant sur ces textes :

 

 

LE HASARD EST EXCLU

 

Le premier verset de la Bible, "Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre", (Genèse, chapitre 1, verset 1) contient en Hébreu 7 mots et 28 lettres,

 c'est-à-dire 4 fois 7.

Les mots les plus importants, « Dieu » « cieux » et « terre » ont en tout 14 lettres (2 fois 7).

Les trois premiers mots contiennent le sujet et l'attribut de la proposition.

Ils sont formés de 14 lettres. Les deux compléments ont chacun 7 lettres.

La valeur numérique des trois mots importants mentionnée plus haut est de 777, soit 111 fois 7.

L'unique verbe, « créa », a la valeur de 203, c'est à dire 29 fois 7.

La valeur numérique totale des trois mots se trouvant respectivement au début, au milieu, et à la fin de ce verset est de 133 (19 fois 7)

 

 

Citons un autre exemple : le récit de la naissance de Jésus dans l'Évangile de Matthieu :

 

Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu'ils eussent habité ensemble. Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle.   

Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit : Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint-Esprit ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.              

Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.

Joseph s'étant réveillé fit ce que l'ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus". (Matthieu chapitre 1, versets 18-25).

 

 

Ces versets contiennent dans la langue originale, le Grec, 161 mots, soit 23 fois 7. 

Le vocabulaire totalise 77 ou 11 fois 7 mots.

On trouve ces mots dans 105, soit (15 fois 7) formes différentes.

L'ange utilise 28 mots (4 fois 7), et des 105 formes, il en utilise 35, soit 5 fois 7.

Les 77 mots du vocabulaire sont disposés selon l'alphabet par groupe de 7.

Marc, chapitre 16 verset 9 à 20, contient, entre autres, les phénomènes numériques suivants. 

Le nombre total des mots est 175 (25 fois 7) dont Jésus utilise 56 (8 fois 7).

Le vocabulaire de ces versets contient 98 mots du vocabulaire,  84 (12 fois ont été utilisés auparavant par Marc dans son évangile et 14 (2 fois 7) sont employés uniquement ici.

 

 

Par ces derniers chiffres, Yvan Panin révèle des combinaisons mathématiques, qui ont une relation déterminée avec des chiffres qui précèdent ou qui suivent.

 

Etc  ………    ……

 

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  Les adeptes de la Kabbale sont familiers de l’activité qui consiste à interpréter la Bible en associant un code, un symbole, un chiffre à chaque lettre de l’alphabet hébreu, pour en interpréter la signification.

Le mathématicien russe Yvan PANIN, au début du XXe siècle, est connu pour ses recherches sur la « structure numérique » de la Torah.
Le rabbin Michael Ben Weissmandel mène également, à peu près à la même époque, des recherches sur la Tanakh, et plus spécialement la Torah.
Yvan Panin a passé sa vie à étudier à la main, l’ordinateur n’existant pas encore, ces signes remarquables attachés à la construction des Écritures. Il a accumulé plus de 40 000 pages de calculs.

La présence du Créateur demeure derrière chaque mot, chaque lettre même des Écritures. Les 40 rédacteurs différents n’ayant fait que transcrire, sur plus de 2000 ans d’intervalles, comme des scribes, ce qui leur était inspiré et révélé.

Le Professeur Yvan Panin a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres Hébreux et grecs est numérotée et occupe sa propre place spécifique dans l’ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Étant donné que chaque lettre Hébraïque et grecque comporte une valeur numérique, -”les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues”- chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.

Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.
Le Pr Yvan Panin a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l’intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et grecs.

Le Pr Yvan Panin a démontré, soit que chaque auteur des Écritures était un génie littéraire et mathématique sans égal, ou bien qu’il écrivait sous la conduite et l’inspiration de l’Esprit Saint. Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Pr Yvan Panin, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.

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 « Celui qui analyse l'Écriture de façon destructive se retrouve dans la situation d'un analyste infantile aux prises avec des complexités qu'il n'avait jamais imaginées.

L'inspiration verbale de la Bible est ici démontrée mathématiquement, laissant loin en arrière toute machination essayant de la détruire. L'Écriture se révèle comme un parchemin qui, exposé à la lumière, fait ressortir l'autographe de son Artisan ; un texte qui comporte précisément cette marque d'une arithmétique miraculeuse qui se retrouve dans la chute mathématique parfaite des flocons de neige, et dans les enroulements parfaits d'une coquille.

Aux critiques du Professeur Panin je dirais : "Mettez-vous ses chiffres en question ? Si oui, où s'est-il trompé ? Sinon, leur portée est incontestable. Vous ne pouvez argumenter contre les mathématiques".  »

 

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« Pour tous, en effet, les nombres sont le reflet de l’harmonie du monde.
Les lois terrestres et les lois célestes ont le même auteur.
Lois divines et lois physiques procèdent du même démiurge ou du même créateur.
il serait impossible, autrement, d’expliquer les connaissances mathématiques de l’auteur du livre de Daniel,
en particulier l’emploi des nombres pentagonaux »

 

 

1 - Guématries

 

Un sujet discuté (ou écarté) est celui de l’utilisation des valeurs numériques dans les textes bibliques. On a souvent soutenu que cette « guématrie » était une invention tardive. Très développée dans ce qu’on nomme « la cabale », mais inconnue dans les textes bibliques. L’utilisation de la valeur numérique des lettres hébraïques serait un phénomène tardif -postérieur à l’époque de rédaction des textes bibliques. Cela a souvent été affirmé.

Telle quelle, cette thèse est aujourd’hui insoutenable. Les exemples cités ci-après rendent les coïncidences impossibles. Reste le problème de comprendre ce que les scribes ont voulu dire par cette mise en forme. Et à quelle date ? Et dans quel milieu ? Ce sont là des problèmes pour les exégètes. Simplement, un examen impartial s’interdit toute négation a priori.

Un cas souvent cité (comme si c’était le seul exemple) est celui des 318 guerriers d’Abraham (Genèse 14,14). Or, le nom du principal serviteur d’Abraham est Eliezer (Genèse 15,2) et la valeur numérique de « ‘Eliezer » est, justement, 318 :

 

‘Eliezer
אליעזר
= 1 + 30 + 10 + 70 + 7 + 200 = 318 

 

Mais d’autres exemples sont moins connus –voire ignorés ou passés sous silence : Sara est ensevelie dans la grotte de Makhpéla (Genèse 23,19). C’est là que sera enseveli Abraham qui meurt à 175 ans (Genèse 25,7). Or le nom de la grotte a la même valeur numérique que le nombre des années du patriarche :

 

Makhpéla
מכפלה
= 40 + 20 + 80 + 30 + 5 = 175

 

Ce nombre est d’autant plus intéressant que les années des patriarches suivants sont bien remarquables  :

Abraham meurt à 175 ans. 175 = 7 x 52
Isaac meurt à 180 ans. 180 = 5 x 62
Jacob meurt à 147 ans. 147 = 3 x 72
Joseph (héritier des trois « pères ») meurt à 110 ans. 110 = 52+ 62 + 72

Le nombre des années de la vie des patriarches est toujours multiple d’un carré et leur successeur Joseph cumule cet héritage ! Cela a déjà été décrit avec précision (1).

 

Ajoutons que les noms des « pères » (Abraham faisant ici nécessairement exception parce qu’il répond à un symbolisme différent) ont également une valeur numérique étonnante :

Isaac
יצחק
= 208 = 8 x 26
Jacob
יעקב
= 182 = 7 x 26
Joseph
יוסף
= 156 = 6 x 26

 

On sait que 26 est la valeur numérique du Nom divin. Ce Nom est ainsi « inscrit » dans les noms cités.

Il sera difficile d’attribuer tous ces résultats à des coïncidences.

 

Citons encore les 26 répétitions de la formule « Éternelle est sa grâce » dans le Psaume 136 ou les 26 mentions du Nom divin dans le livret de Jonas.

Autre guématrie, cette fois sur la valeur numérique d’un nom –celui du roi Salomon :

 

Salomon
שלמה
= 300 + 30 + 40 + 5 = 375
     

 

 Les proverbes dits « de Salomon » (non tous les textes du livre mais seulement les « proverbes » brefs du premier grand recueil attribué à Salomon),

sont au nombre de 375  (Proverbes 10,1- 22,16).

 

 

 

2 - Des nombres symboliques

 

Le nombre du nom divin (YHWH) a pour valeur numérique 26. Ce qui est 13 x 2.Le nombre 13 est celui des attributs de Dieu, selon Maïmonide et selon ce que chantent les enfants dans le texte populaire de la fête juive de Pâque. Savante ou non, la tradition a gardé mémoire de la valeur de 13, comme aussi le texte de la Bible a  –de plusieurs manières qui ne peuvent toutes être signalées ici-  utilisé les particularité du nombre 26.

 

Dans la suite des temps, un cabaliste (Abul’afya) soulignera que 13 est aussi la valeur numérique de UN (‘eHad) et de AMOUR (‘ahava). Les amateurs de figures symboliques verront que dans l’étoile à six branches (« sceau de Salomon » ou « étoile de David ») les sommes des chiffres le long de chaque côté sont égales à 26 (La figure d’une telle « étoile magique » est reproduite dans : A. Warusfel, Les nombres et leur mystère, Paris 1961  (Seuil), p 34)

 

Pour nous tenir à la Bible, remarquons qu’un dérivé de 26 joue un rôle important. Il s’agit du nombre pentagonal de 26 qui est 1001 :

 

                                              1001 = P26

 

 Nous avons vu, dans l'introduction, combien il est simple de passer d’un nombre n à son triangulaire (Tn), son carré (Cn = n2), son pentagonal (Pn) par l’addition du gnomon propre à la famille des nombres figurés. Le « développement pentagonal » du nombre 26 est 1001. Cette arithmétique géométrique est le support d’une signification symbolique :

 

 « Aux yeux de Dieu, mille ans sont comme un jour » (Psaume 90,4) et  :  « un jour dans tes parvis en vaut plus de mille »  (Psaume 84,11). 

 

Le Nouveau Testament se souvient de cette particularité. Le calcul semble connu de l’épître de Pierre (2 Pierre 3,8) et de l’Apocalypse :

Après mille ans ou l’antique serpent sera enchaîné (Apocalypse 20,2),

les 1000 ans de règne avec le Christ de ceux qui n’avaient pas adoré la bête (20,4),

les 1000 ans de règne des prêtres de Dieu (20,6) ....

 

 

Un cas d’hexagonal doit être signalé. Il s’agit du nombre 91 : multiple de 7 et de 13 ; triangulaire de 13 (91 = T13) et hexagonal de 7 (91 = H7).

 

91 = מלאך (mal’akh, « ange ») = האלהים (ha-‘elohim, « la divinité ») = נאם (ne’um, « oracle ») = אמן (‘amen, « amen »).

 

 

Un peu d’exégèse ancienne : Le monde divin est marqué du chiffre 13  (valeur numérique de ‘eHad, אחד = UN)  et concerne la totalité de la création, laquelle est marquée du chiffre 6 + 1  (les « 6 jours + 1 » ! ). 

Les nombres figurés le disent : Le triangulaire de 13 est égal à l’hexagonal de 7.

Quant au Dieu UN - auteur des oracles - Il est le Dieu de l’Amen  (Esaïe 65,16).

 

 

Terminons ce rapide survol en disant que le nombre 91 est la valeur numérique de l’expression :

   « le Seigneur Éternel »  (écrit :  ‘dny yhwh = 65 + 26 = 91).

Ce sont là de simples constatations mais elles n’ont pas échappé aux anciens auxquels ces particularités paraissaient pleines de sens.

 

 

 

3 - ‘atbash

 

Une cryptographie inconnue de la majorité des biblistes est celle qui consiste à remplacer la première lettre de l’alphabet par la dernière, la seconde par la pénultième, la troisième par l’antépénultième etc… C’est l’alphabet, lu à l’envers ! Ce procédé qui sera appelé « atbash » dans la littérature exégétique traditionnelle n’est pas inconnu des rédacteurs bibliques.

C’est le mérite d’ E. Dhorme (Bible de la Pléiade) de l’avoir signalé en note sous Jérémie 25,26 et 51,41.

 

Et le roi de Sheshakh boira après eux…   Jérémie 25,26

 

 On ne connaît aucun pays de ce nom. Mais un scribe avisé reconnaît le nom véritable sous la cryptographie. Certes, il faut pour cela connaître l’hébreu et cette particularité d’une écriture cryptée. Mais un babylonien ne peut connaître l’atbash. En sorte qu’il ne pourrait reconnaître dans la parole du prophète - telle qu’elle est transmise - une malédiction de Babylone !

 

 

Par ce procédé, Sheshakh (ששך) doit être lu Babel  (ל   .(ב  ב  ל  

C’est Babylone qui est visée, mais seul un scribe versé dans les écritures peut le comprendre, non un ennemi.

 

Les valeurs numériques confirment cela, grâce à quoi le lecteur fera un pas de plus dans sa lecture :  

sheshakh = 620 = Shin’ar (שנער)

 

Et le pays de Sinéar (Shin’ar) est le pays de Babel, ainsi nommé dans le récit de la tour de Babel (Genèse 11,2). Babel est la ville où la tour a été élevée. C’est ce pays  – responsable de la terrible déportation et de l’exil qui s’en est suivi  – qui est l’objet de la vindicte du prophète, mais cela ne peut être dit ouvertement si la Babylonie est encore dominante. D’où le recours à une cryptographie…

 

 

4 - En guise de conclusion 

 

Le symbolisme des nombres nous fait pénétrer dans un monde étranger à notre culture. Pour autant, il est nécessaire de prendre conscience de la forme que les anciens ont voulu donner aux paroles qu’ils transmettaient. Ils ont pour cela utilisé des particularités graphiques, orthographiques, numériques, de la langue qu’ils utilisaient (l’hébreu).

 

C’est une carence des sciences bibliques que d’avoir négligé (voire méprisé) ces particularités  – en ignorant l’exégèse traditionnelle, rejetée dans les ténèbres d’un confessionnalisme superstitieux.  Érudition n’est pas connaissance.

 

Ni les « jeux » de mots, ni les « jeux » d’écriture, ni le recours à des nombres symboliques ne sont fortuits. Ce sont des repères, des guides, des  supports de compréhension. Le symbole numérique peut ainsi être un jalon sur la voie de la compréhension. N’en pas tenir compte serait superficiel.

 

 

Certes, les excès sont nombreux. L’étude des nombres a suscité bien des conclusions aberrantes. Ce n’est pas une raison pour ignorer des particularités inscrites dans les textes. C’est le cas des guématries. Sur ce sujet (comme sur le symbolisme des nombres, en général), les études savantes sont déficientes  – comme si la peur des spéculations aventureuses coupait court à toute velléité d’examen. De fait, les études  – lorsqu’elles existent –  sont partielles, voire partiales. 

Vienne le temps où  – hors de toute préoccupation homilétique et/ou soi-disant scientifique –  le texte biblique sera étudié pour lui-même, dans le respect de toutes ses particularités.

 

 

Jacques Chopineau, Genappe le 22 septembre 2003

 

Notes

Le premier à l’avoir observé semble être J. Meysing. Cf  J. G. Williams,  Number symbolism and Joseph as symbol of completion,

Journal of Biblical Literature 98 (1979).

 

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Sources    ►   https://paque-type-antitype.jimdofree.com/valeurs-num%C3%A9riques/

 

   ►  http://www.bibleetnombres.free.fr/panin.htm

   ►  http://trouvvv.free.fr/html/panin.htm  

 

 

 

Autres sujets édifiants sur la Bible :

    http://dieuplanhumanite.canalblog.com/

   http://plan-de-dieu-pour-l-humanite.jimdo.com/

 

 

 

 

 

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